NN et l’UGent prolongent l’Enquête nationale du Bonheur en temps de coronavirus

L’assureur vie NN et l’Université de Gand (UGent) étudient l’impact qu’a le coronavirus sur le sentiment de bonheur des Belges. Cela dans le cadre de la deuxième phase de l’Enquête nationale du Bonheur, qui a été lancée en février et qui est prolongée jusqu’au 24 avril 2020. En raison du coronavirus, notre société et notre système de soins de santé sont soumis à une immense pression. L’Enquête offre une chance unique de mesurer le bien-être mental et le bonheur des Belges avant et après la crise. Les résultats seront annoncés à la fin du mois de mai.  

Depuis trois ans déjà, l’Enquête nationale du Bonheur de l’UGent et de l’assureur vie NN analyse ce qui rend les Belges heureux et la manière dont nous pouvons stimuler ce bonheur au sein de notre société. Les premiers résultats de cette grande enquête ont été dévoilés entre mars 2018 et mars 2019.

En février 2020, une nouvelle phase de cette enquête débutait, à laquelle plus de 2.000 personnes ont déjà participé. Cette nouvelle enquête évalue une fois de plus le bonheur et la satisfaction de vie des Belges et approfondit des thèmes tels que la santé, les relations sociales, l’environnement de travail et la situation financière. En outre, elle s’intéresse davantage à ce que les gens attendent réellement de la vie et à la manière dont ils envisagent la vieillesse.

En raison du coronavirus, l’équipe a décidé de prolonger l’enquête jusqu’au 24 avril et d’y ajouter quelques questions spécifiques, relatives au COVID-19, afin d’évaluer notre attitude envers le virus et envers nos politiques. « Nous avons lancé la nouvelle phase de notre enquête le 10 février dernier, donc avant que le nouveau coronavirus n’interfère dans nos vies.  Notre société et notre système de soins de santé sont aujourd’hui soumis à une pression intense, qui va encore s’accroître dans les semaines à venir. Mais cette pandémie offre également une occasion unique de mesurer le bien-être mental et le bonheur des Belges avant et après la crise. Nous pourrons alors en tirer de nombreuses leçons pour l’avenir. Notre objectif reste de voir comment nous pouvons améliorer le niveau moyen de bien-être et de bonheur des Belges, mais désormais aussi dans l’ère post-corona », explique le Professeur Lieven Annemans, titulaire de la chaire NN à l’Université de Gand.

« Le bonheur peut sembler être une quête idyllique à un moment où une pandémie domine nos vies. Mais c’est précisément en ces temps, pendant lesquels notre santé mentale et physique, nos relations sociales et notre situation financière sont soumis à rude épreuve, qu’il est important d’y prêter une attention toute particulière », déclare Jan van Autreve, CEO de NN.

Les résultats de l’enquête seront communiqués à la fin du mois de mai.

Le questionnaire est totalement anonyme. Il faut environ 30 minutes pour y répondre.

Les personnes souhaitant participer à l’enquête peuvent le faire via le site https://bonheur2020.ugent.be/.

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