Les supérieurs hiérarchiques jouent un rôle essentiel dans le bonheur au travail des Belges. Mais la crise accroît le manque d’attention accordé à l’opinion et au bien-être des employés.

25 août 2020, Bruxelles –  Le bonheur au travail des Belges est essentiellement déterminé par leur satisfaction à l’égard de leurs supérieurs. En outre, l’autonomie, l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée et l’épanouissement personnel sont également des facteurs déterminants.

C’est ce qui ressort de nouveaux résultats issus de l’Enquête nationale UGent-NN du Bonheur. Et en Belgique, il y a encore des efforts à fournir. En effet, la moitié des travailleurs ont l’impression que leurs responsables ne prennent pas leur bien-être ou leur avis en considération. Cela mène à une insatisfaction à l’égard des supérieurs et affecte le bonheur au travail d’une grande partie des Belges.

La crise du coronavirus ne fait qu’accentuer ce point sensible, car la satisfaction à l’égard des supérieurs est passée de 6,62 sur 10 avant le confinement à 6,25 sur 10 six semaines après le début du confinement.

L’Université de Gand (UGent) et NN formulent des recommandations et partagent les conseils de plusieurs responsables d’équipe et experts.

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