Pascale (57): Le coronavirus m’a permis de retrouver une amie d’enfance

20 mars 2021

Pascale (57 ans), optimiste de naissance, a pu entretenir de nouveaux contacts grâce au lockdown. Auparavant, elle avait l’habitude de courir d’un endroit à l’autre pour être sûre de voir tout le monde. La crise l’a obligée à limiter ses contacts. Et cela a apporté du temps et de l’espace pour rendre les amitiés plus proches et plus chaleureuses, mais aussi pour construire de nouvelles amitiés. 

« Je suis quelqu’un de très social et engagé pour les autres. Je travaille mais je suis aussi bénévole dans une école des devoirs, afin d’aider des élèves de l’enseignement primaire à réaliser leurs devoirs et les structurer en cas de problèmes d’apprentissage. Normalement, je suis toujours en mouvement ! Mais en raison des restrictions actuelles, je suis désormais plus consciente de mes contacts sociaux. Et j’apprécie cela, cela m’a donné du temps et de l’espace pour approfondir mes amitiés, mais aussi pour en découvrir de nouvelles. »

Des retrouvailles avec une amie d’enfance

« J’ai par exemple récemment retrouvé une amie d’enfance grâce à l’une de mes balades hebdomadaires. J’ai pris l’habitude de prendre l’air presque tous les jours, et lors d’une de mes sorties, j’ai rencontré par hasard une amie d’école qui avait déménagé dans un autre pays il y a des années de cela. Elle était revenue en Belgique depuis quelques années, et il se trouve qu’elle avait emménagé à quelques rues de chez moi. Pour rattraper le temps perdu, nous avons commencé à marcher régulièrement ensemble. Même après le confinement, je suis sûre que nous continuerons à organiser nos balades de manière régulière ! »

L’importance d’entretenir aussi ses amitiés actuelles

« D’un autre côté, je me suis aussi rapprochée de certains amis. Pendant la première vague, une amie était en période de chômage temporaire donc nous avons aussi organisé des promenades en extérieur. On se préparait des petits pique-niques pour essayer de rendre le moment plus festif ! Ce furent des moments de qualité, qui ont rendu le confinement vraiment plus agréable. »

L’Enquête nationale sur le Bonheur de l’UGent-NN le confirme

L’Enquête nationale sur le Bonheur de l’UGent-NN montre que le renforcement de la qualité des relations sociales est l’une des rares conséquences positives de la crise. Cela nous permet aussi de renforcer notre bonheur. Pour tous les résultats de l’Enquête nationale sur le Bonheur de l’UGent-NN, cliquez ici.